samedi 21 avril 2007

Poème à Constance

Les mains de Constance sont les ailes d'un Ange
Le pâle ballet de leurs doigts est étrange
Alors que leurs souples manières s'expriment
Leurs arabesques sur mon esprit s'impriment
Et puisqu'il faut que pour les convenances
Je doive éviter de songer à Constance
J'aurais au moins le droit de garder en pensée
Le charme et la beauté de ses doigts enchantés

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